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L’Ethiopie a engagé le 28 mai 2013 la construction sur le Nil bleu, un des affluents du Nil, du « barrage de la Renaissance ». Le barrage a vocation à devenir le plus grand barrage hydroélectrique d’Afrique (près de trois fois la capacité du haut barrage d’Assouan). Le 3 juin 2013, plusieurs représentants des différentes forces politiques égyptiennes, réunis par Mohammed Morsi, ont envisagé lors d’une émission en direct sur la télévision publique tous les actes de guerre susceptibles de stopper la construction du barrage. Le président avait déclaré : «Nous ne pouvons rien laisser passer qui puisse modifier une goutte d’eau du Nil».

L’homme: « Avec ce maquillage, cher Président, vous pourrez négocier avec l’Ethiopie, ils penseront que vous êtes un des leurs et ils arrêteront la construction du barrage ! »


OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Cedej (10 décembre 2013). . Les Carnets du CEDEJ. Consulté le 5 décembre 2024 à l’adresse https://egrev.hypotheses.org/777/f1


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